mardi 11 mars 2008

Passe partout..



Puisses-tu trouver
la clé pour te délivrer
de cette enfance scellée
où il t'était interdit de rêver
la clé pour t'évader
de cette enfance anorexique
gavée d'inutiles
frappée de silences coupables
la clé pour traduire
malgré tes douleurs muettes
que l'amour n'est pas morte
et qu'il s'en trouve malgré tout
pour te dire Je t'aime…

2 commentaires:

Kat Imini a dit...

La solitude de l’enfance parfois…
Prise dans un monde qui n’a pas le temps ni l’idée de se baisser,
De considérer l’échelle des ressentis et des sentiments.
Devoir être grande pour se mettre à la hauteur,
Pour se faire croire, pour se rassurer,
Etre sa « bonne mère », se porter,
Pour pouvoir s’enfanter de courts instants…
Pour simplement « sur » vivre.
Et puis, continuer à porter cet enfant en soi,
Comme nous tous, il est vrai.
Mais ses souffrances résonnent encore et toujours,
Handicapée par sa propre histoire…
Alors peut-être, apprendre une fois adulte,
A se désaccoutumer du malheur,
S’en sevrer,
Reprendre la main et caresser la joue de cet enfant toujours en nous,
Lui dire simplement, je suis là…

Anonyme a dit...

l'amour...
pays merveilleux...
j'ai toujours mille choses à faire...
jamais le temps de prendre un allez retour.
j'ai pris des charters mais ils n'ont pas réussi à aller au bout de leur course.
je préfère, la lune, les étoiles, le souffle du vent dans les feuilles, le déclencheur de mon appareil photo, le bruit du talon qui claque dans la rue, le chat qui me regarde pour me parler, mon chien, mon seul ami du quotidien.
...
malgrè ma version dérivative..
tes mots me semblent bon, doux, comme une peluche angora.
l'animelle
px : et si je ne signais plus, me reconnaitrais tu?
jouons, veux tu bien?