La ville murmure des mots
À un homme au corps muet
À son ombre si sombre
De la langueur de vaines attentes…
La pluie chante un fado
À un jour au cœur éteint
À une âme ruisselante
Du chagrin d'une absence…
Un esprit agonise de l'oubli de soi
Des choses des gens et du temps
Dans un cercueil pourtant si vivant!
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