samedi 5 mai 2007

Le plein temps de nos printemps…



Quand tes seins, insolents,
me pointent, à nouveau, le printemps…
Quand tes cuisses s’allongent et s’ouvrent
sous les caresses insistantes de mille soleils…
Quand, de ton sexe, coule la sève
qui fait bourgeonner, encore une fois en nous,
la promesse d'une nouvelle saison…
Quand ton corps, frémissant,
réinvente un nouvel hymne au printemps…

Je te fredonne… je te murmure… je te louange...

Et, je tourne enfin définitivement le dos
à tous ces hivers qui nous croient mortels…

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