Le printemps floconne
Une neige de cabane à sucre
Sur tous ces inattendus
Des nuits de Montréal
Que j’avais presque oubliés…
Mouillé, transis,
Je me réfugie sous un porche
D’où j’assiste impuissant
Aux monologues d’un couple
Qui ne survivra pas à la nuit...
Des morceaux de vie s’effilochent
Lorsque je remonte chez moi
Sachant que je m'éloigne
D'autant de chez toi!
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