lundi 19 novembre 2007

J'aurais aimé...


Que tu sois chacune des secondes
de ce temps volatile
qui emprisonne les traits de ma vie…

Avoir créé ce mouvement perpétuel
où j’inventerais une nouvelle caresse
pour apaiser chacune de tes angoisses…

Que nos yeux s’illuminent
de tous ces feux intérieurs
dont nous serions les seuls artificiers…

J’aurai aimé…
Tant et tant d’impossibles…

1 commentaire:

Anonyme a dit...

simplement beau, comme une lumière qui se pose sur le corps après l'amour, quand ce qu'il reste s'appelle encore l'amour.
l'animelle