mardi 18 décembre 2007

Le goût d'un infini...


Je n'aurai sans doute 

et pour toujours
comme miroir

que les ombres de tes nocturnes...

et comme infini

au bout de mes doigts

l'encre de tes plaisirs...

le bonheur intempestif

d'en imaginer les saveurs...

1 commentaire:

Anonyme a dit...

Je n'aurai sans doute
et pour toujours
comme miroir
le visage que je te donne
les reflets de ton ame que je ressens
les petites lettres rouges dansantes dans le cartonnage d'un message bien réel
l'animelle