samedi 6 octobre 2007

Entrée par effraction…



Ça me fait tout drôle de penser
que tu te lèves sur mes rêves…
que tu poses tes matins
sur ces paysages fluides
qui m’échapperont au réveil…

Je m’éveille néanmoins parfois
en milieu de nuit
habité de cette certitude
de t’y avoir entendue marcher….
de te deviner sur ces murs improbables
dont les oreilles gardent le souvenir
de chacun de tes murmures…

1 commentaire:

Anonyme a dit...

nos fantomes sans "passe"
entrent et caressent
nos désirs les plus troublants
transformant nos vies
modelant nos corps
laissant parfois un peu plus
l'écho impossible
d'une mémoire irraisonée

l'animelle