Quelquefois
je lève les yeux
sur ce ciel lavande
où un soleil auréolé
se dissout dans un jour
qui se consume lentement
J’y imagine
des gens alanguis
trouvant refuge dans les ombres
qui s’étirent dans des rues
étroites et onduleuses
ou dans la fraîcheur
d’un début d’ivresse
Quelquefois
je nous imagine s’y croiser
et s’y deviner…
1 commentaire:
Un coup de chaud dans cet air glacial fait du bien... Je ferme les yeux, je laisse mon chauffage me souffler le visage.... Je viens m'assoir près du quidam et je trinque avec lui quelques sourires charmeurs.
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