Quand le ciel nuage sa rage Jusqu'à en étouffer l'horizon L'homme plie l'échine Et dresse ses croix Pour sauver son âme Et épargner sa faim...
Ne lui survivra dans l'infini Que la crainte d'avoir été lui-même…
1 commentaire:
Anonyme
a dit...
le vent dans les brins de pailles les yeux qui pleurent sous le souffle la peau des joues rouges du fouet du temps l'inertie presque totale dans ce monde artificiel une colonne à cran est raide les émotions, comme des ballons messagers, emporteront, une larme, un battement de cil, un exposition ephémère de son expression imparfaite un oiseau au bec jaune et à la plume noire posa ses griffes dans le cou de l'immobile en tete à tete avec son invité imprevu defila en 8mm sa vie confondu de jaune paille et soleil l'amitié de ces deux inconnus silencieux et proche pourtant rendit aux couleurs de noel l'argent et l'or inestimable
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le vent dans les brins de pailles
les yeux qui pleurent sous le souffle
la peau des joues rouges du fouet du temps
l'inertie presque totale dans ce monde artificiel
une colonne à cran est raide
les émotions, comme des ballons messagers,
emporteront, une larme, un battement de cil, un exposition ephémère de son expression imparfaite
un oiseau au bec jaune et à la plume noire
posa ses griffes dans le cou de l'immobile
en tete à tete avec son invité imprevu
defila en 8mm sa vie
confondu de jaune paille et soleil
l'amitié de ces deux inconnus
silencieux et proche pourtant
rendit aux couleurs de noel
l'argent et l'or
inestimable
veronique
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