jeudi 18 mars 2010

Ces nuits où je voudrais que la nuit me mente…


Des phrases qui fument
Des tabacs prières
Des substances d'outre vie
Des envers de banalité

Des mots qui inhalent
Les sens sans dessus dessous
Et font rêver de réalités
À l'envers du quotidien

Des airs qui encensent
La musique des ouies dires
Le secret des silences
L'envers de soi-même

Merci à Claude Collins de m'avoir naguère foutu Bashung dans les gencives le soir de l'enterrement de ma mère…

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