lundi 12 février 2007

Pour toutes ces géographies oubliées...



Ici, même la nuit ne dort pas, elle transpire, elle a le souffle court...
Et quand elle est blanche de toutes ces noirceurs,
le monde se tourne et se retourne dans son lit, inconfortable.

Pourtant, le petit matin aura tout au plus
les yeux cernés et le regard fuyant…
Si, ici, la lumière ébouillante le fond de l’air et étouffe l’espoir…
Ailleurs, elle fait à peine cligner des yeux...

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