mardi 4 septembre 2007

Malgré tout...


Y’a des imprévus
Qu’on voudrait des impossibles
Y’a des improbables
Qu’on voudrait impensables
Y’a des souvenirs
Qui n’ont guère plus d’avenir
Y’a des déserts
Qui envahissent mes terres

Y’a des pourquoi
Qui tuent mon présent
Y’a des …et maintenant
Qui rêvent mes demains…

1 commentaire:

Anonyme a dit...

dans les nuits que l'on voudrait noires, il y a souvent derrière nos paupières ce sang qui tappe et éclabousse nos vie...
jour sans faim, sans fin...
par moment le temps est étiré et les secondes se veulent heures, dans le malheur des autres ou dans le notre, le temps ne se compte plus pareil...
l'animelle