J’ai retrouvé
ton corps embrasé
par la douleur
ton sourire un peu inquiet
de ce qui arrivera
quand apparaîtra
au générique
l’inévitable FIN…
Je me suis réfugié
dans tes yeux
qui ignorent les ombres
inondés par la lumière
de toutes ces secondes
à embrasser…
Je me suis tu
secoué d’un séisme inattendu
lorsque les plaques tectoniques
de nos corps
se sont heurtées…
Et alors que je ravalais
mon dégoût de pleurer
que j’étouffais
mon goût d’hurler…
ta tendresse intacte
m’a submergé
et j’ai pu un instant
me faire une idée
de ce que j’aimerais
que soit l’éternité!
N’empêche
si tu trouves un ciel
de l’autre côté de cette vie…
Dis leur de se préparer
quand mon tour viendra
à vivre un enfer...
J’en aurai eu
tellement marre
de ce côté-ci
de leurs vacheries!
2 commentaires:
le générique défile et hyptnotisé de ton souvenir
je pleure au dedans la souffrance du manque de toi
quand dieu et diable auront fini la bataille, mon amour
peut etre que dans les tribunes des hauts gradins
nos yeux se retrouveront
certain de n'avoir pas compter le temps
certain de constater que rien entre
nous c'était envoler
ta peau comme pour la premiere fois
vibrera sous mes doigts
tes larmes comme pour la derniere fois, mon amour
pourront pleuvoir du bonheur de se retrouver
dans les apocalypses, il y a toujours noé
dans l'arche de nos vies séparées
je garde en moi
toute la force de l'espoir de te revoir
véronique
caresser l'idée d'une "retrouvaille"
dans l'abîme du temps qui fuit
embrasser l'idée d'un contact
dont on nous a promis la clé
et interdit jusque-là
la ceinture de chasteté...
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