mardi 31 août 2010

Carnets à rebours d'un flâneur impénitent (4)


Les marées de mon fleuve-mer
Vous échouent parfois
Sur une de ces îles
Qui a tant erré
Qu'elle a le fini lisse
Du bois flotté
Et comme ciel étoilé
Des éclats des galets humides…

1 commentaire:

Kat Imini a dit...

Que te dire Luc, que tes mots sont toujours aussi beaux, si finement assemblés, mus par une sensibilité qui est tienne, te dire aussi, même si ce n'est que piètre consolation, que je suis de tout coeur avec vous. Je vous embrasse.