dimanche 11 novembre 2007

Sans prix!


La nuit tombe à peine
que je cherche de nouveau
à décrypter du bout des yeux
la face cachée de tes inhabitudes
à fuir l’encodage du vide…

Sous le voile de la brunante
l’ombre de nos plaisirs s’allonge
nos regards se croisent et s’embrasent
de ce feu qui s'alimente de nos inattendus…
Nos souffles en ravivent les braises
et nous mettent à l’abri
de ces tant sous zéro
des amours polaires
nous permettent d’échapper
à ces heures froides parce que désertées
et hantées d'amours fantômes…

et pour d'autres versions sur une même image...

http://animelle.blog.fr/2007/11/12/la_femme_code_barre~3287132

4 commentaires:

Anonyme a dit...

Juste de passage encore, j'ai suivi les petits cailloux, ils m'ont amenée dans un bel endroit, peuplé de mots et d'images qui me parlent, je m'incline bien bas, je reviendrai.
Catherine

moments égarés a dit...

La porte est toujours ouverte peu importe les heures...

Je m'étonne juste que tu nous prives d'autant de talent...

moments égarés a dit...

Désolé... (la suite)

Tu n'écris nulle part ailleurs?

Tu devrais pourtant... t'as un réel talent!!!

Anonyme a dit...

Non je n'écris nulle part ailleurs, j'écris aussi "seule". J'aime les mots, en jouer, en prendre soin. Mais j'avoue avoir du mal à lancer le texte, besoin d'une fenêtre, d'une image, d'une sollicitation, une sorte de catalyseur. C'est un trait de caractère ou une faiblesse ou les deux, une manière d'avoir besoin des Autres. Merci de ton accueil et de ton appréciation.
Catherine