Le passé s’effiloche la vie nous dérouille puis notre souffle rouille même nos inoxydables immuables les souvenirs s’enlisent dans les trous de mémoire du temps les années s’allongent sous une lumière myope et demain ignore nos espoirs presbytes…
2 commentaires:
Anonyme
a dit...
La presbytie de l'espoir... Grand sujet... Les bras semblant trop courts Ou les espoirs trop lointains Juste question de distance ? L'espoir à portée de mains Se prendre à bras le coeur Tomber, se relever, réespérer, Pas si simple, et pourtant... A chaque fois, c'est si bon...
j'apprivoise l'age comme un lion, plus je m'approche et plus il me sent, plus il me sent et moins nous avons peur. il me rapproche des réels infinis, je n'ai pas de nostalgie du passé, je ne regrette rien et laisse le présent se défaire chaque jour, le futur m'importe, je suis encore là par accident... l'animelle
2 commentaires:
La presbytie de l'espoir...
Grand sujet...
Les bras semblant trop courts
Ou les espoirs trop lointains
Juste question de distance ?
L'espoir à portée de mains
Se prendre à bras le coeur
Tomber, se relever, réespérer,
Pas si simple, et pourtant...
A chaque fois, c'est si bon...
Catherine
j'apprivoise l'age comme un lion, plus je m'approche et plus il me sent, plus il me sent et moins nous avons peur.
il me rapproche des réels infinis, je n'ai pas de nostalgie du passé, je ne regrette rien et laisse le présent se défaire chaque jour, le futur m'importe, je suis encore là par accident...
l'animelle
Publier un commentaire